Vous avez l’impression que tout le monde déménage à Saint-Nazaire ces derniers temps ? Vous ne rêvez pas. Il y a bien une petite migration tranquille qui s’opère (et pas uniquement chez les retraités).
Derrière ce choix un peu inattendu (vu de Paris, en tout cas), il y a des raisons très concrètes. Et surtout, de plus en plus de familles en quête de mieux s’y retrouvent.
Moins de stress, plus de m², un quotidien qui respire un peu plus… Saint-Nazaire coche de plus en plus de cases pour celles et ceux qui veulent du changement (sans partir au bout du monde).
Bref, si vous commencez à jeter un œil sur les annonces immobilières du coin, on ne va pas vous juger (au contraire). Voici pourquoi la ville attire autant.
Un cadre qui change des grandes villes (et ça fait du bien)
Quand on arrive à Saint-Nazaire pour la première fois, il y a un truc qui saute aux yeux : l’espace. Les rues sont larges, les plages accessibles, et les enfants peuvent courir (sans risquer de se faire klaxonner toutes les deux minutes).
Pas étonnant que les familles soient de plus en plus nombreuses à faire leurs valises. Il suffit de comparer avec les métropoles pour comprendre. Moins de bouchons, moins de bruit, moins de stress (et pas besoin de faire une heure de route pour voir la mer).
Et puis, il y a cette ambiance un peu décontractée, presque douce. Les écoles de quartier, les balades en bord de mer, les commerces à taille humaine… Vous voyez le tableau. Les enfants peuvent grandir plus sereinement, et les parents respirent un peu plus aussi.
Ah, et on ne va pas se mentir : le prix au m² a aussi de quoi faire réfléchir (surtout si vous venez d’une grande ville). On peut s’offrir une maison avec jardin, sans vendre un rein.
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Une ville qui bouge (et pas qu’en été)
On entend souvent que Saint-Nazaire est une ville tranquille. Oui… mais pas endormie pour autant. Depuis quelques années, pas mal de choses ont changé. Nouveaux restos, nouveaux lieux culturels, événements pour les enfants… La ville s’anime, et ça plaît.
Le centre-ville, notamment, a pris un petit coup de jeune. Plus dynamique, plus vivant, plus agréable (surtout pour flâner le samedi matin). Et côté sorties, il y a de quoi faire. Entre les cinés, les festivals, les médiathèques et les salles de sport, les week-ends ne sont jamais trop longs.
Et franchement, vivre à deux pas de la mer, ça motive aussi à sortir. Que ce soit pour un pique-nique, une balade au coucher du soleil ou un tour en vélo, le quotidien prend une autre allure (même en plein mois de novembre).
Bref, la ville n’a plus rien d’un repli. Elle devient même un vrai terrain de jeu pour les familles qui aiment bouger.
Des écoles et des structures adaptées aux enfants
C’est un point qui pèse dans la balance pour beaucoup de parents. Et à Saint-Nazaire, le choix ne manque pas : écoles publiques, privées, pédagogies alternatives… Il y a de quoi s’adapter à chaque projet de famille.
Les établissements sont plutôt bien répartis sur le territoire, ce qui évite les galères de transport. Et bonne nouvelle : les places en crèche sont plus accessibles qu’à Nantes ou à Rennes (même si, oui, il faut quand même s’y prendre un peu à l’avance).
Côté activités extra-scolaires, là aussi, l’offre est assez variée. Sport, musique, arts plastiques, danse… Les enfants peuvent tester plein de choses sans avoir à faire 40 minutes de voiture (et sans plomber le budget familial).
Et puis, il y a cette impression que les enfants sont les bienvenus partout. Les lieux publics sont souvent pensés pour eux, les événements leur réservent toujours un espace, et les parcs sont vraiment agréables (même pour les parents fatigués).
Une vraie vie locale (où on vous reconnaît à la boulangerie)
Ce qui plaît aux familles qui s’installent ici ? C’est aussi le côté humain. À Saint-Nazaire, on peut vite prendre ses marques. Les commerçants reconnaissent votre tête, les voisins discutent dans la rue, et les enfants croisent leurs copains d’école en allant chercher le pain.
Il y a un tissu associatif très actif, ce qui facilite l’intégration. Entre les événements de quartier, les marchés, les brocantes et les ateliers pour enfants, on se sent rapidement chez soi (même si on vient de loin).
Et surtout, la ville reste à taille humaine. On peut tout faire à vélo ou presque, les trajets maison-école-boulot sont raisonnables, et on ne passe pas sa vie dans les transports. Résultat : plus de temps à partager en famille, et une charge mentale qui descend (vraiment).
En bref, ce n’est pas juste un coin où poser ses valises. C’est un endroit où le quotidien devient plus simple (et plus sympa, aussi).
Henri Miller est l’auteur des articles de ce blog. Toujours soucieux de partager ses connaissances sur l’actualité, il propose sa vision partisane sur les sujets de la vie de tout les jours …